• Chevelure...

    Lié à un souvenir fugutif... mais lequel?

    La chevelure vol d'une flamme à l'extrême

    Occident de désirs pour la tout éployer

    Se pose (je dirais mourir un diadème)

    Vers le front couronné son ancien foyer

     

    Mais sans or soupirer que cette vive nue

    L'ignition du feu toujours intérieur

    Originellement la seule continue

    Dans le joyau de l'oeil véridique ou rieur

     

    Une nudité de héros tendre diffame

    Celle qui ne mouvant astre ni feux au doigt

    Rien qu'à simplifier avec gloire la femme

    Accomplit par son chef fulgurante l'exploit

     

    De semer de rubis le doute qu'elle écorche

    Ainsi qu'une joyeuse et tutélaire torche

    P.S. : Toujours de Stéphane M (Comme Marguerite!)


  • Commentaires

    1
    Marguerite
    Jeudi 13 Octobre 2005 à 09:05
    Rencontre
    Je crois que j'ai enfin rencontré le maître, je sais je ne suis pas rapide mais je n'ai qu'une heure par jour pour le chercher et pas dans de bonnes conditions. Il est un peu inattendu et je n'ai pas encore fait le lien avec le reste, pourquoi est-il si important ? Je suis un peu perdue dans cette histoire, il me manque peut être de nombreux symboles et un environnement plus adapté, mais j'aime bien. Bizzzes
    2
    Volcane
    Jeudi 13 Octobre 2005 à 14:16
    cette chevelure...
    Vous l'avez certainement le don en question : à moins que vous ne me fassiez marcher...Chevelure, le titre d'une de mes photos.
    3
    Jeudi 13 Octobre 2005 à 14:20
    ou Mallarmé
    ... :)
    4
    Volcane
    Jeudi 13 Octobre 2005 à 14:21
    Chris...
    Il est fou de Mallarmé.
    5
    Jeudi 13 Octobre 2005 à 21:27
    Alors... "Don du poème"
    Je t'apporte l'enfant d'une nuit d'Idumée ! Noire, à l'aile saignante et pâle, déplumée, Par le verre brûlé d'aromates et d'or, Par les carreaux glacés, hélas ! mornes encor L'aurore se jeta sur la lampe angélique, Palmes ! et quand elle a montré cette relique A ce père essayant un sourire ennemi, La solitude bleue et stérile a frémi. Ô la berceuse, avec ta fille et l'innocence De vos pieds froids, accueille une horrible naissance Et ta voix rappelant viole et clavecin, Avec le doigt fané presseras-tu le sein Par qui coule en blancheur sibylline la femme Pour des lèvres que l'air du vierge azur affame ?
    6
    melanchton Profil de melanchton
    Jeudi 13 Octobre 2005 à 22:10
    A Chris
    Pour des lèvres que l'air du vierge azur affame ? Que ne donnerait-on pour avoir écrit ces mots? Oui, que ne donnerait-on? Merci Chris
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